Porcherie
Quand
les phalanges
dévalent
aux vallons
ondoyants
Que
les ongles
glissent
aux toisons
escarpées
Quand
irisées
chatoient
humides
les chairs
Que
s’abaisse
le tendre
pont-levis
à
mes
pieds
Je
ne suis
déjà plus
qu’un
gourdin
incrédule
Je
ne
distingue
rien
que l’afflux
en
mon
pieu
Que
la bêtise
brutale,
l’imbécile
chargement
Et
chaque nuit
dans
le piège
malgré
moi
je
redonne
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire